Drame (historique)

Film français

Note globale: 13/20

Réalisateur: Roselyne Bosch

Acteurs principaux: Jean Reno, Mélanie Laurent, Gad Elmaleh, Sylvie Testud

Durée: 1h55

Synopsis Allociné: Et ce matin de juin, il doit aller à l'école, une étoile Jaune cousue sur sa poitrine...
Il reçoit les encouragements d'un voisin brocanteur. Les railleries d'une boulangère.
Entre bienveillance et mépris, Jo, ses copains juifs comme lui, leurs familles, apprennent la vie dans un Paris occupé, sur la Butte Montmartre, où ils ont trouvé refuge.
Du moins le croient-ils, jusqu'à ce matin de 16 juillet 1942, ou leur fragile bonheur bascule...

Du Vélodrome d'Hiver, où 13 000 raflés sont entassés, au camp de Beaune-La-Rolande, de Vichy à la terrasse du Berghof, La Rafle suit les destins réels des victimes et des bourreaux.
De ceux qui ont orchestré.
De ceux qui ont eu confiance.
De ceux qui ont fui.
De ceux qui se sont opposés.
Tous les personnages du film ont existé.
Tous les évènements, même les plus extrêmes, ont eu lieu cet été 1942.

Ce que j'ai pensée du film:  l'émotion survient d'un coté historique qu'on ne peut pas oublier, mais difficilement du jeu des acteurs. Seule Sylvie Testud arrive vraiment à nous pincer le cœur. Un sujet pas très gai, traité d'une manière sensible. Dans l'ensemble, les images ne sont pas trop dures, mais le film fait planer un sentiment de tristesse, sans jamais faire pleurer. La deuxième partie du film manque de rythme, ce qui peut facilement être pardonnable.

Drame

Film Américain

Note globale: 13/20

Réalisation: Peter Jackson

Acteurs principaux: Saoirse Ronan, Mark Wahlberg, Rachel Weisz, Stanley Tucci

Durée: 2h08

Synopsis : L'histoire d'une jeune fille assassinée qui, depuis l'au-delà, observe sa famille sous le choc de sa disparition et surveille son meurtrier, ainsi que la progression de l'enquête...

Ce que j'ai pensé du film: le film touche un thème sensible, qui forcément effleure notre émotivité. L'histoire nous plonge dans les années 70 avec une reconstitution pas mal faite, et alterne avec un imaginaire fantastique qui manque un peu de profondeur. Dans des paysages à l'ambiance fond d'écran Windows, l'Entre-Deux est représenté d'une façon symbolique et onirique mais d'une façon trop aléatoire, sans consistance, et presque sans utilité, à part donner de l'originalité aux yeux du spectateur. L'histoire suit son cours sans surprise ni rebondissement (ce qui manque légèrement), mais laisse derrière elle un pincement au coeur nécessaire. Outre une réalisation un peu hasardeuse, le jeu des acteurs est assez bon.